Violences.

Moon dit :
*On fait un joli couple en fait, le soleil et la lune
*Moi je trouve que ça fait très complémentaire
*Et on sera comme ça pour l'éternité
*Le soleil et la lune
*C'est top en fait non ?

   Mais moi je l'adore ce corps. J'adore le caresser, le sentir contre moi. Je le trouve magnifique.Ta poitrine, la courbe de ta taille, tes hanches contre les miennes. Oui j'adore ce corps. Ce corps voluptueux, aux courbes douces, accueillantes. Ce corps que j'ai envie de dévorer, ce corps au travers duquel je vois la femme que j'aime et je veux lui faire du bien. Femme en devenir. Ces filles minces que j'ai longtemps admirées me paraissent trop masculines à présent. J'aime tes formes, comme tu aimes les miennes. Ne t'abime pas trop. Je voudrais garder ce corps. T'apprendre à le voir à travers mes yeux.Je veux ta douceur, ta chaleur, ta moiteur.J'aime ce corps au travers duquel j'ai appris à aime le mien,  au travers duquel sans même le savoir tu m'as fait devenir plus sûre de moi, plus femme, plus belle peut-être. Tu es belle. Belle.

   Tu as ces cheveux lisses et doux, que j'aime caresser et voir ébouriffés au matin, ces yeux à en mourir d'amour, ces lèvres que j'embrasse assez mal, cette nuque que j'ai envie de caresser, cette poitrine que je voudrais dévorer, ces mains qui m'ont tout appris et fait découvrir, ces bras qui m'enlacent et me font me sentir si bien, ce joli ventre rond et doux, ce goût interdit et doux, ces hanches que les miennes cherchent dans mes danses.

   J'aime ton corps. Et pas seulement parce que je t'aime. J'aime ce corps et d'autres l'ont aimé avant moi. L'aiment encore.

   Si tu ne peux pas te sentir bien, si tu ne peux pas croire ce que je te dis, ne t'éloigne pas trop pour autant de ce corps que j'aime tel qu'il est, à la folie, qui m'as tout fait découvrir et me fera découvrir encore beaucoup, au travers duquel je veux encore te faire ressentir, et toujours plus, le plaisir.

   Je t'aime meu amor. J'aime ton esprit et ton corps, indépendamment l'un de l'autre. Ensemble, ils sont la femme de ma vie. Et ma meilleure amie.

ILDi <3

Et si j'avais tord, ça changerait quoi? Si je me trompais, si je n'étais qu'une adolescente en pleine recherche sexuelle, si je finissais par "revenir" aux garçons un jour, ça changerait quoi?

Pas le fait que nous ne faisons rien de mal, ni de malsain ou de stupide. Pas le fait que nous ne gâchons rien. Pas le fait qu'elle au moins est certaine de sa sexualité, pas le fait qu'elle m'attire ni que je l'aime, sans savoir pourquoi elle etpas une autre. Pas le fait que les nuits dans ses bras sont magiques, ni que j'ai envie d'elle, ni le plaisir. Pas tout ce qu'elle me donne, pas tout ce que nous partageons, pas ce qu'on peut lire dans nos yeux. Pas ces instants où tout semble si évident, si clair, comme si tout était en harmonie parfaite...

N'écoute pas les mots qui te font mal,ces gens si proches de toi qui pourtant ne te comprennent pas. Avec le temps, tout passe... Le temps douloureux, qu'on passe à attendre des choses plus ou moins impatiemment. Le temps qui t'apportera des douleurs et des soulagements. Ne pense plus.Laisse toi porter par la musique, par ces voix qui te sont si douces, par la douceur de nos étreintes. A chaque fois tu touches le bonheur du doigt, à chaque fois un coup plus dur te ramène sur terre. mais n'oublie jamais tous ces gens qui t'adorent et sont là pour toi, dans chaque douleur, après chaque coup du sort. N'oublie jamais que mes bras sont grands ouverts, quoi qu'il arrive. Tu peux croire certaines promesses. La nuit quand nos corps se fondent et se lacèrent, c'est cet amour infini que nous exprimons. Le jour lis dans mes yeux cette adoration qui nous portera aussi loin que nous devrons aller. Ils le verront survivre, cet amour réciproque, et alors comprendront que ce n'est rien de ce qu'ils croient. D'ici là, je t'appartiens toujours, maigre consolation. Pense à eux qui te soutiennent, et seront là aussi longtemps que tu as besoin d'eux. Je t'aime à l'infini, à la folie, à en mourir.

Aimer ça ne devrait pas faire mal, non? Ca ne devrait pas être se détruire, s'enfermer, se mentir. Jamais. " C'est assez étrange de voir votre mec prendre son pied sur votre corps, et de vous retenir de hurler de douleur." Quoi? J'ai peur. Jamais je veux faire ça. Je veux pas... te forcer.
Nos corps qui se font mal, qui se forcent. Non, non!
A chaque fois que je te fais mal, j'ai cette envie de vomir qui monte. On dirait que ça va mieux, pour toi... Mais à quel prix?
Et je ne lis toujours pas tout dans tes yeux.
Apprendre, toujours apprendre, à chaque fois. Apprendre à te connaitre, à te comprendre, à ne plus te faire mal, à savoir refréner, être raisonnable. Apprendre ton corps, le mien. Apprendre tes sentiments. Apprendre. Grandir.
Je suis Nemosexuelle.

Parle moi. je ne sais pas quelles questions te poser. Mais si tu en a besoin, si tu as besoin d'une épaule pour pleurer, d'oreilles attentives, je suis là. J'ai parfois l'impression de savoir si peu. Que tu as besoin de quelque chose que tu n'ose pas me demander. Ouvre toi.

Tu sais quoi? Je t'aime.
J'aime ce que je découvre, ce à quoi je m'habitue. J'aime délirer sur notre mariage, sur ce que je devine à longueur de journée. Sur cette relation spéciale entre nous. Je t'aime.

  Lire dans les pensées, ça a ses avantages et ses inconvénients. J'adore moi, cette relation fusionnelle, à la fois physique et mentale, au moins pour moi. Même si souvent je sais plus quoi faire de ce corps, de ces mots qui m'encombrent. Ils font, n'importe quoi, envahissent l'espace, alors qu'ils devraient rester simple, juste te serre contre moi en enfouissant mon visage dans tes bras, pour me cacher au reste du monde, et te dire "je t'aime" parce qu'il ne devrait rien y avoir d'autre à dire. Parce que ça vient de trop profond, tellement loin dans mon ventre, juste en-dessous du désir. Ce qu'on ne voit pas, ce qu'on ne touche pas, ce qu'on voudrait trouver des milliards de manière d'exprimer, ce qu'on voudrait prouver à chaque seconde. Alors on répète ces mots vides, en essayant de les remplir de ce qu'on a avec un regard, un sourire, mais c'est tellement compliqué à lire...
  Et puis il y ces choses que je ne voudrais pas lire. l'agacement, l'ennui, et ce regard qui voit une autre à travers moi. Parce que je lis dans ton regard, sur ton visage, que tu me jauges, me compares. A elle, à d'autres peut-être.Vivre au présent? On y crois...
J'aurais presque envie que tu lises en moi aussi. Que tu devines que je te hurle d'arrêter, que je ne veux pas être comme les autres, que je ne suis pas les autres, et que si tu veux que je sois moi-même, tu dois arrêter de comparer la fille en face de toi a une autre qui n'a que toi en commun avec elle. Parce que je ne peux pas continuer comme ça, comme une idiote, à essayer de tenir la comparaison... Je ne dois pas. Parce que je suis So', la rousse hystérique avec ses rondeurs, ses doutes, son éternel optimisme et ses pas hésitants... Pas une fille, je refuse. Je refuse d'être une parmi d'autres, je refuse d'être une fille ordinaire. Je le prouverais, si il le faut. Je réfléchis trop. Et alors?

« Des choses que je voudrais dire

Des choses que je n'arrive pas à dire

Des choses que j'essaie de noyer

Dans la trame des mots

Dans la contradiction

Dans la fuite

Des choses simples

Des choses à la fois profondes et douces

Des choses sans façon

Des choses que n'importe qui pourrait dire

A condition d'oser

A condition d'essayer

Des choses qui ont déjà été dites par d'autre

A d'autre

Des choses qui ne se disent tout de même pas si facilement

Parce qu'intimes

Parce que sécrètes

Parce que rare

Des choses que je voudrais te dire

Sans avoir à les dire

Parce que c'est déjà trop de dire

Parce que ce n'est rien de le dire

Pour ainsi dire, que de dire cela

Parce que c'est au delà de tout ce qu'on peut dire

C'est presque ça que je voulais dire

ça que depuis longtemps j'essaie d'écrire »

Ne pars pas. Sans toi les aiguilles de la pendule resteraient bloquées sur deux heures, et la nuit éternelle s'installerait dans mes jours. Ne pars pas. Les images autour de moi perdraient leurs couleurs, mon monde serait fade sans son soleil. Ne pars pas. Les aliments perdraient leur goût mangés seule à cette table, me nourrir ne serait plus que la réponse à un besoin désagréable. Ne pars pas. Ma vie serait remplie de ton fantôme, qui disparaitrait quand je le suivrais. Ne pars pas. Mon visage me serait insupportable de ne pas être le tien. Ne pars pas. Je ne pourrais regarder une foule sans y chercher ta silhouette, et si par hasard celle-ci lui ressemblait, le douloureux souvenir de ton image briserait ma vision. Ne pars pas. Mes bras qui se referment sur le vide ne pourraient oublier les formes de ton corps. Ne pars pas. La pénombre elle-même est le rideau de tes cheveux. Ne pars pas. Mes doigts chercheraient encore les tiens quand mes cauchemars m'éveilleraient. Ne pars pas. Je ne pourrais plus rêver que de ton image brumeuse, qui s'éloigne. Ne pars pas. Je veux à nouveau entendre ton rire éclater en déchirant la pénombre. Ne pars pas. Je veux te dire à nouveau mon amour jusqu'à ce que ma voix s'éteigne. Ne pars pas. Continue à remplir les pages blanches de ma vie. Ne pars pas. Je veux te parler, et t'écouter parler. Reste, je t'en supplie. Reste.

09/03/2009-02/05/2009

I'm on a little purple cloud. Boys? Girls? I don't care.
Just her.
Let me love, let me live, let me dream...
Let me be an actress, I love it. I love to play in her arms, fighting against... against what? My own love? I think so.
Isn't it the theme of the poem?
Take a breath.
I love it. Al Berto, again. I want to stay here forever. Beside her.
I don't believe all. Excuse me.

Desire? Desire. Attraction. Your breath, your skin, your lips, your body, your arms, your thrills, your embrace...